Table du Yid bzhin mdzod et de son commentaire

Le Cycle du
Yid-bzhin rin-po-che'i mdzod

Remarques générales

Au commencement de cette recherche, nous n'avons pas utilisé ici l'édition de mKhyen-brtse rin-po-che, que nous avons suivie pour les autres volumes des Sept trésors, mais celle de rDo-grub-chen rin-po-che, la seule dont nous disposions alors. Etant donné le caractère assez chaotique de la pagination « à l'occidentale » en marge des textes, et surtout en raison de sa très mauvaise lisibilité (particulièrement pénible s’agissant d’un texte à la fois important et comparativement facile, mais aussi excessivement long), nous avons refait entièrement cette table, dans les semaines qui ont précédé la soutenance de la thèse, sur la base de l’édition récente de Tarthang Tülku, dont la qualité matérielle est infiniment meilleure que celle des deux que nous venons de mentionner.

Nous présentons des excuses pour ce léger manque de cohérence, car nous aurions dû choisir une édition quelconque et nous y tenir. Mais, comme nous avions commencé notre travail sur l’édition Dodrupchen, et qu’il s’est avéré par la suite qu’il fallait en changer, étant donné les délais qui nous étaient impartis, nous avons opté pour la solution la plus confortable. Du reste, l’édition mKhyen-brtse étant épuisée depuis une bonne quinzaine d’années, il eût peut-être été ridicule de s’y attacher excessivement.
Il n’est pas impossible que, dans le corps de ce travail, dans les index, etc., demeurent quelques scories de références à l’édition Dodrupchen. Dans la mesure du possible, au cas où elles pourraient être utiles à quelque lecteur, nous ne les avons pas supprimées, du reste, mais données toujours entre crochets < >, à la suite de la référence dans l’édition de Tarthang Tülku.

Theg-pa chen-po'i man-ngag gi bstan-bcos yid- bzhin rin-po-che'i mdzod

Notice générale

Le Yid-bzhin rin-po-che'i mdzod, qu’il est difficile de situer chronologiquement avec précision, est en tout cas antérieur au Ngal-gso skor gsum et au Grub-mtha’ mdzod. Ce grand traité, qui récapitule en quelque sorte tous les enseignements des neuf véhicules gradués dans la perspective finale du rDzogs-chen, nous apparaît comme la première grande tentative faite en ce sens, dont le Ngal-gso skor gsum (et spécialement le Sems-nyid ngal-gso) et le Grub-mtha’ mdzod allaient être en quelque sorte les répétitions. Dans ce cas, il apparaît clairement que Klong-chen rab-’byams a par deux fois (au moins) remis sur le métier son ouvrage.

Certes, chacun de ces trois traités a sa spécificité, et l’on ne peut considérer que seul le plus tardif, le Grub-mtha’ mdzod, exprimerait la pensée finale de l’auteur. En effet, si le Yid-bzhin rin-po-che'i mdzod a en quelque sorte une forme hybride entre un exposé général des doctrines bouddhiques, d’une part, et un « itinéraire spirituel » (lam-rim), d’autre part, ces deux aspects se trouvent ensuite séparés dans les deux grandes reprises postérieures de mêmes thèmes. Le Grub-mtha’ mdzod et le Sems-nyid ngal-gso ne sont donc pas globalement redondants, même s’ils le sont en nombre de points particuliers.

Certains aspects ne se trouvent pas aussi développés dans les autres œuvres. Ainsi, par exemple, c’est dans le Yid-bzhin rin-po-che'i mdzod que se trouve l’exposé le plus complet de la cosmologie selon Klong-chen rab-’byams.

En tout état de cause, nous estimons que, quand il y a contradiction entre les deux textes, c’est bien sûr le Grub-mtha’ mdzod qu’il faut suivre comme témoin de la pensée aboutie de l’auteur. En effet, même si la composition du grand commentaire Padma dkar-po ne se situe peut-être pas aussi haut dans la production de Klong-chen rab-’byams que l’on a pu longtemps le croire, il n’est pas douteux que nombre de matériaux de ce cycle, son projet, peut-être le texte versifié dans son ensemble, remontent probablement à la jeunesse de Klong-chen rab-’byams. Cela dit, nous serions porté à croire que le commentaire n’a été achevé qu’après la période de composition du mKha-’gro yang-tig, du Bla-ma yang-tig yid-bzhin nor-bu et du Theg mchog rin-po-che'i mdzod, voire du Tshig-don rin-po-che’i mdzod. Ces questions restent pendantes.

Dans l’édition de Tarthang Tülku, après une manière de frontispice décoratif   — ce Yid-bzhin rin-po-che'i mdzod étant considéré comme le premier des Sept trésors dans un ordre certainement plus thématique que chronologique, nous avons ici en quelque sorte le portail ornemental de ces volumes —, le recto du premier feuillet contient, selon l’usage, le titre calligraphié ; au verso, trois vignettes : au centre, Samantabhadra, le Dharmakâya ; à gauche, Vajrasattva, le Sambhogakâya ; à droite le maître dGa’-rab rdo-rje, représentant le Corps de Manifestation. De même, le verso du second feuillet est illustré de deux vignettes : Mañjushrîmitra à gauche, Shrî Singha à droite ; et, au verso du troisième, on trouve Jñânasûtra à gauche et Vimalamitra à droite.

Table du Yid-bzhin rin-po-che'i mdzod

1.    Introduction — p. 2 <ff° 1 b – 2 a> (manquant dans notre exemplaire de l’édition Dodrupchen) ; comment le samsâra s'est formé à partir du Fond — p. 4 <ff° 2a - 3a>

2.    La disposition des paradis (zhing-khams) pour le bien des migrants  — p. 9 <ff° 3a - 5a>

3.    La formation des mondes « contenants »  — p. 14 <ff° 5 a — 9 b>

4.    La nature de la formation des êtres sensibles « contenus »  — p. 28 <ff° 9 b - 14 a>

5.    La période cosmique où [les mondes qui se sont formés] subsistent  — p. 42 <ff° 14 a - 16 a>

6.    Les périodes cosmiques de destruction et de vide  — p. 49 <ff° 16 a - 17 b>

7.    Le bien-être et les tourments du contenant et du contenu  — p. 53 <ff° 17 b - 19 a>

8.    La manière de suivre le précepteur de vertu  — p. 58 <ff° 19 a - 22 a>

9.    Abandonner les mauvaises fréquentations  — p. 68 <ff° 22 a - 23 b>

10.    Le maître qui enseigne [le Dharma] — p. 73 <ff° 23 b - 25 a>

11.    Les caractéristiques du disciple qui reçoit [cet enseignement]  — p. 77 <ff° 25 a - 25 b>

12.    Exposé développé des subdivisions du Dharma qu'il s'agit d'exposer  — p. 80 <ff° 25 b - 27 b>

13.    Réflexion sur la difficulté d'obtenir les libertés et attributs [de la précieuse existence humaine]  — p. 88 <ff° 27 b - 29 b>

14.    Réflexion sur l'impermanence de la vie  — p. 93 <ff° 29 b - 31 a>

15.    Réflexion sur la nature de la dévotion (dad-pa)  — p. 96 <ff° 31 a - 32 b>

16.    Réflexion sur la causalité des actes  — p. 101 <ff° 32 b - 33 b>

17.    Réflexion sur les souffrances du samsâra et les béatitudes du nirvâna  — p. 105 <ff° 33 b - 35 a>

18.    La détermination du mode-d'être  — p. 110 <ff° 35 a - 37 b>

19.    Les préliminaires de la contemplation  — p. 116 <ff° 37 b - 39 a>

20.    La méditation de la claire lumière suprême  — p. 122 <ff° 39 a - 40 b>

21.    Les degrés successifs de l'avancée dans la voie  — p. 127 <ff° 40 b - 42 a>

22.    Le fruit de l'ultime aboutissement de la méditation  — p. 132 <ff° 42 a - 43 a>

23.    Conclusion  — p. 134 <ff° 43 a - 44 a>
 
II. Theg-pa chen-po'i man-ngag gi bstan-bcos yid-bzhin rin-po-che'i mdzod kyi ’grel-pa padma dkar-po

Notice

Dans la belle édition de Tarthang Tülku, au verso d’une page de titre calligraphiée, (p. 139), on trouve une page illustrée de trois vignettes, représentant, de gauche à droite, ’Jigs-med gling-pa, Klong-chen rab-’byams (dans la mudrâ de l’enseignement) et rGyal-ba’i myu-gu (le disciple principal de ’Jigs-med gling-pa en ce qui concerne le sNying-thig). Au verso du second feuillet, sont représentés Kun-bzang gzhan-phan et dPal-sprul rin-po-che (O-rgyan chos kyi dbang-po). De même, au verso du troisième, Ye-shes rdo-rje (c’est-à-dire mDo mKhyen-brtse) et mKhyen-brtse dbang-po. Ces six premières pages sont imprimées à l’encre rouge.

1.    Introduction  — p. 140

Titre et vers d’hommage liminaire ; objet du traité. Les trois Corps du Buddha (pp. 146 sq.) et ses activités. Abrégé de l’objet du traité (p. 147 sq.) : la base, définie comme indissociabilité des trois Corps spontanément établis ; la voie, grande conjonction des trois Corps ; le fruit, grand délice de la conjonction des trois Corps. Engagement à composer le traité (p. 148). Précisions sur l’objet du traité ; sommaire de ses chapitres (p. 150). Finalité, et finalité ultime (dgos-pa’i dgos-pa), cohérence de l’une et de l’autre.

Chapitre I. Comment le samsâra s'est formé à partir du Fond  — p. 151

1.    Le Fond à partir duquel le samsâra s'est formé  — p. 151 [ses attributs]

La base est déterminée comme vide (stong-pa), mais clairement lumineuse et sponta- -nément établie ; elle « consiste en un Elément dont les Corps et connaissances princi- -pielles sont indissociables, et c’est pourquoi c’est le sugatagarbha ». On l’appelle « mode d’être, substrat universel (kun-gzhi, âlaya) véritable, parce que tous les dharma du samsâra et du nirvâna s’y fondent. Il est incomposé (’dus-ma-byas) et consiste depuis l’origine en une grande pureté intégrale… ».

2.    Comment les dharma du samsâra, soit le karman et les obnubilations s'étaient de ce Fond qui [lui-même] ne repose sur rien  — p. 152

Exemple des nuages qui d'une certaine manière se fondent sur l'espace, mais ne le touchent point (ma reg) et n'y adhèrent pas (ma ’byar), tout en demeurant dans sa dimension (ngang). Noter que c’est sur le Ratnagotravibhâga que Klong-chen rab-’byams se fonde dans cette explication : la nature de Buddha est interprétée comme un fond ontologique universel, et non seulement comme la virtualité de l’Eveil en chaque être.
La formation originelle de l’égarement et des imprégnations (vâsanâ) (p. 153). Trois sortes de vâsanâ. Noter (p. 154) l’analogie, inhabituelle chez Klong-chen rab-’byams, de la poussière qui se dépose à la surface d’un miroir.

3.    Comment les dharma du nirvâna, à l'inverse, sont en lui fondés d'une manière indissociable de sa nature — p. 154

Exemple du rapport du soleil et de ses rayons.

4.    La formation originelle de l'égarement — p. 153

Il est à noter que l’auteur, reprenant l’analogie des nuages voilant le ciel, dit nettement que « les qualités infinies présentes dans l’Elément et les connaissances principielles, dans le Corps de Réalité et les Corps formels, ne se manifestent pas (snang-ba ma yin) au moment où l’on est dans la condition d’être ordinaire ».

C’est (p. 155) parce que les occultations sont adventices qu’elles peuvent être purifiées.

La métaphore des nuages est filée : leurs évolutions dans le ciel, la pluie, le mûrissement des récoltes…

5.    Les trois sortes d'imprégnations psychiques (bag-chags) qui se déposent dans le substrat universel (kun gzhi) — p. 156

Imprégnations objectives (yul), de « significations » (don, à savoir les huit consciences) et corporelles (lus). Ici, la distinction devient claire entre trois âlaya : (1) substrat univer- -sel véritable du mode-d’être (gNas-lugs don gyi kun-gzhi, similaire au kun-gzhi ye-shes du système de Dol-po-pa Shes-rab rgyal-mtshan) ; (2) substrat universel des imprégnations diverses (bag-chags sna-tshogs-pa’i kun-gzhi), base neutre d’accumulation des vâsanâ ; (3) âlayavijñâna proprement dite.

Le texte (pp. 157 sq.) se poursuit par une description des huit consciences et du mécanisme de leur production interdépendante. La source de cette conception se trouve dans le Mahâyânasûtrâlamkâra (p. 161). Polémique (pp. 161 sqq.) contre un idéalisme outré, qui affirme sans nuance que « tout est esprit », sans prendre la mesure de la spéci- -ficité des registres de l'objet et du corps propre. L'auteur va jusqu'à écrire que ce qui prouve l'altérité de l'objet des perceptions, c'est l'autonomie de sa causalité relativement à celle qui est propre à l'esprit. Il récuse cependant tout réalisme en affirmant le caractère hallucinatoire des perceptions d'objets. Il conclut en faisant porter l'accent sur la distinction de « l'apparence » (snang-ba) et de « l'objet apparent » (snang-yul).

6.    Exposé du karman lié à l'appréhension des trois espèces d'apparences selon la dualité du sujet et de l'objet — p. 166

7.    Recommandation de prendre bien garde à la causalité des actes, aussi longtemps que [la structure] préhensible - préhensile n'aura pas sombré dans l'Elément, et cela même si le samsâra, qui n'a point de nature propre, est pareil à un reflet — p. 167


Le texte affirme qu'une fois surmontée cette dualité sujet-objet, il n'y a plus de karman, puisque sa cause, soit l'inintelligence assortie de ses imprégnations, n'est plus. L'esprit (p. 168) est donné à la fois comme ce qui produit ce karman, ce en quoi il s'inscrit, ce qui en éprouve les pénibles effets, etc., et donc comme ce qu'il importe de contrôler (’dul).

8.    Exemples de ce qui vient au jour en tant que perceptions trompeuses : hallucinations issues de l'intoxication du datura (dha-du-ra), reflets — p. 169.

9.    De la nécessité de bien examiner la nature de ces apparences illusoires — p. 171

[Abrégé conclusif de ce chapitre]

Chapitre II. La disposition des paradis (zhing-khams) pour le bien des migrants — p. 172

1.    Abrégé du mode de manifestation des précepteurs et des monde de ces « conver- -tisseurs » (’dul-byed) — p. 172

2.    Explication développée — p. 174

   2.1.    Les paradis — p. 174
      2.1.1.    Présentation générale des paradis des trois Corps — p. 174
      2.1.2.    Présentation détaillée du paradis du cœur paré de fleurs — p. 176
    2.2.    Les précepteurs — p. 187
       2.2.1.    Mode de manifestation des précepteurs des paradis en général et en particu-
       -lier — p. 187
       2.2.2.    Réponse aux objections — p. 192

3.    Abrégé conclusif et bienfaits de la foi sur ces questions — p. 198

Chapitre III. La formation des mondes « contenants » — p. 200

1.    Présentation abrégée — p. 200

2.    Exposé développé — p. 201
   
2.1.    Période de formation (chags-pa’i bskal-pa) — p. 201
       2.1.1.    Abrégé — p. 201
       2.1.2.    Exposé développé — p. 202
          2.1.2.1.    Formation des mondes « contenants » — p. 202
              2.1.2.1.1.    Présentation générale du « contenant » — p. 202
                 2.1.2.1.1.1.    Abrégé — p. 202
                 2.1.2.1.1.2.    Présentation développée — p. 207
                    2.1.2.1.1.2.1.   Explication du fondement, ou les cinq disques (mandala)
                    — p. 202
                    2.1.2.1.1.2.2.    Explication de ce qui est fondé, soit les montagnes, les
                    continents et les océans — p. 207
                        2.1.2.1.1.2.2.1.    Abrégé liminaire — p. 207
                        2.1.2.1.1.2.2.2.    Présentation développée — p. 207
                           2.1.2.1.1.2.2.2.1.    Les montagnes — p. 207
                              Cause commune des monts — p. 207
                              Leurs particularités — p. 208
                                  Le Sumeru — p. 208
                                      Proprement dit — p. 208
                                      Considérations sur la grandeur, etc., de cette montagne — p. 210
                                  Les sept monts — p. 211
                           2.1.2.1.1.2.2.2.2.    Les océans — p. 212
                           2.1.2.1.1.2.2.2.3.    Les continents — p. 216
                    2.1.2.1.1.2.3.    Les diverses demeures des êtres sensibles — p. 220
                       2.1.2.1.1.2.3.1.    Abrégé — p. 220
                       2.1.2.1.1.2.3.2.    Exposé développé — p. 220
                          2.1.2.1.1.2.3.2.1.    Destinées infortunées — p. 220
                             En général — p. 220
                             En particulier — p. 220
                                   Enfers — p. 220
                                   Fantômes avides — p. 223
                                   Animaux — p. 223
                          2.1.2.1.1.2.3.2.2.    Mondes supérieurs — p. 224
                                    Hommes — p. 224
                                    Dieux — p. 224
                                       Abrégé — p. 224
                                       Exposé développé — p. 224
                                           Les dieux du monde du désir (kamadhâtu) — p. 224
                                                Explication principale — p. 224
                                                  Abrégé liminaire — p. 224
                                                  Exposé développé — p. 224
                                                     Ceux qui demeurent sur terre — p. 224
                                                       Les quatre grands Rois — p. 225
                                                       Les « Trente-trois » — p. 230
                                                       Leurs demeures — p. 230
                                                       Leurs richesses — p. 232
                                                          Abrégé — p. 232
                                                           Exposé développé — p. 237
                                                      Ceux qui demeurent dans le ciel — p. 247
                                                 Annexe : les Titans — p. 248
                                           Le monde de la forme (rûpadhâtu) — p. 254
                                               Situation — p. 254
                                                  Situation du monde de la forme — p. 254
                                                  Le monde sans - forme — p. 257
                                                Etendue (gya-khyon) — p. 257
                                                  Etendue du monde de la forme — p. 257
                                                  Distinction d’élévation de chacune des demeures — p. 258
3.1.2.1.2.    Présentation détaillée, à partir de catégories comme « le premier millier », etc. — p. 259
Chapitre IV. La nature de la formation des êtres sensibles « contenus »  — p. 262
1.    Exposé abrégé — p. 262
2.    Explication développée — p. 264
2.1.    Monde sans – forme — p. 264
2.1.1.    Proprement dit — p. 264
2.1.2.    Sens du terme — p. 272
2.1.3.    Réponse aux objections — p. 274 
2.2.    Monde de la forme — p. 278
2.3.    Monde du désir — p. 291
2.3.1.    Destinées supérieures — p. 291
2.3.1.1.    Dieux — p. 291
2.3.1.1.1.    Proprement dits — p. 291
2.3.1.1.1.1.    Abrégé liminaire — p. 291
2.3.1.1.1.2.    Explication détaillée — p. 292
2.3.1.1.1.2.1.    Dieux demeurant dans le ciel — p. 292
2.3.1.1.1.2.1.1.    Chacun des lieux — p. 292
2.3.1.1.1.2.1.2.    Particularités de quelques-uns — p. 295
2.3.1.1.1.2.2.    Dieux demeurant sur terre — p. 298
2.3.1.1.1.2.2.1.    Les « Trente-trois » — p. 298
2.3.1.1.1.2.2.2.    Les quatre grands Rois — p. 300
2.3.1.1.2.    Titans — p. 301
2.3.1.2.    Hommes — p. 303
2.3.1.2.1.    Formation générale [dans] les quatre continents — p. 303
2.3.1.2.2.    Formation particulière dans le Jamudv¥pa — p. 307
2.3.1.2.2.1.    Naissance miraculeuse des premiers hommes — p. 307
2.3.1.2.2.1.1.    Explication principale — p. 307
2.3.1.2.2.1.2.    Particularités de chacun des continents et explication de leur nom — p. 311
2.3.1.2.2.2.    Naissance sur les [trois] autres modes au fur et à mesure [de l’évolution du karman] — p. 318
2.3.2.    Destinées infortunées — p. 333
2.3.2.1.    Peuplement des enfers — p. 333
2.3.2.2.    Formation des fantômes avides et des animaux — p. 335
3.    Conclusion sur la période cosmique de subsistance des mondes — p. 337
Chapitre V. La période cosmique où [les mondes qui se sont formés] subsistent  — p. 338
1.    Explication des mondes subsistants — p. 338
1.1.    Abrégé liminaire  — p. 338
1.2.    Explication détaillée  — p. 342
1.2.1.    Essor et déclin — p. 342
1.2.1.1.    Abrégé liminaire — p. 342
1.2.1.2.    Explication détaillée — p. 344
1.2.2.    Caractéristiques pendant la subsistance — p. 359
1.2.2.1.    En général — p. 359 [énumération des éléments du réel].
1.2.2.2.    En particulier — p. 380
2.    Définition de leur base (rtsom-gzhi) subtile — p. 389
2.1.    Abrégé liminaire — p. 389
2.2.    Explication détaillée — p. 390
2.2.1.    Limites [éléments] des la forme [matérielle] — p. 390
2.2.2.    Limites [éléments] du temps — p. 391
2.2.3.    Limites [éléments] du langage — p. 397
Chapitre VI. Les périodes cosmiques de destruction et de vide  — p. 401
1.    Destruction — p. 401
1.1.    Définition du commencement de la destruction — p. 401
1.2.    Comment [les mondes] se détruisent — p. 402
1.2.1.    Destruction des [êtres sensibles] contenus — p. 402
1.2.1.1.    Destinées infortunées — p. 402
1.2.1.2.    Destinées supérieures — p. 407
1.2.1.2.1.    Hommes — p. 407
1.2.1.2.2.    Dieux — p. 409
1.2.1.2.2.1.    Du monde du désir — p. 409
1.2.1.2.2.2.    Du monde de la forme — p. 410
1.2.2.    Destruction des [mondes] contenants — p. 411
1.2.2.1.    Quelles sont les causes qui amènent leur destruction — p. 411
1.2.2.2.    Autres particularités de la manière dont ils sont détruits — p. 417
1.3.    Durée [du processus] de destruction — p. 420
2.    Vide — p. 421
VII. Le bien-être et les tourments du contenant et du contenu — p. 424
1.    Abrégé liminaire — p. 424
2.    Explication détaillée — p. 426
2.1.    La nature des mondes supérieurs — p. 426
2.1.1.    Introduction — p. 426
2.1.2.    Leurs plaisirs — p. 428
2.1.3.    Qu’ils ne sont pas hors du champ de la souffrance — p. 428
2.2.    La nature [du monde] du désir — p. 429
2.2.1.    Abrégé liminaire — p. 429
2.2.2.    Explication détaillée — p. 429
2.2.2.1.    Destinées infortunées — p. 429
2.2.2.1.1.    Leurs souffrances — p. 429
2.2.2.1.2.    Leurs plaisirs — p. 430
2.2.2.2.    Destinées heureuses — p. 432
2.2.2.2.1.    Les hommes — p. 432
2.2.2.2.1.1.    Leurs plaisirs — p. 432
2.2.2.2.1.2.    Leurs tourments — p. 432
2.2.2.2.2.    Les titans — p. 434
2.2.2.2.3.    Les dieux — p. 435
2.2.2.2.3.1.    En général — p. 435
2.2.2.2.3.1.1.    Leurs plaisirs — p. 435
2.2.2.2.3.1.2.    Leurs tourments — p. 435
2.2.2.2.3.2.    En particulier — p. 436
2.2.2.2.3.2.1.    Leurs plaisirs — p. 436
2.2.2.2.3.2.2.    Leurs tourments — p. 438
2.2.2.2.3.2.2.1.    En général — p. 438
2.2.2.2.3.2.2.2.    Guerres — p. 438 [longue et belle évocation des batailles entre les titans et les dieux]
3.    Abrégé conclusif sur les trois souffrances — p. 450
VIII. La manière de suivre le précepteur de vertu — p. 452
1.    Abrégé liminaire — p. 452. [Contient le plan général du traité, récapitulant les chapitres précédents et anticipant sur les suivants. Le début de ce chapitre marque un tournant : après avoir achevé la présentation de la « base », dans son aspect pur (début du chapitre I) et impur (c’est-à-dire la situation des êtres égarés dans le saµsåra, fin du chapitre I – chapitre VII), Klong-chen rab-’byams aborde maintenant les éléments de la voie. Si l’on commence par traiter des bons et mauvais maîtres (chapitres VIII et IX respectivement), c’est parce que le commencement de la pratique religieuse est « l’audition » (thos-pa), et qu’il importe de recevoir le Dharma d’un précepteur qualifié). Les chapitres X et XI relèvent également de la description de l’audition ; la suite correspond davantage à la réflexion (bsam-pa) et à la méditation (sgom-pa).
2.    Explication détaillée — p. 457
2.1.    Les caractéristiques du précepteur de vertu qu’il convient de suivre — p. 457
2.1.1.    Sept caractéristiques — p. 457
2.1.1.1.    Première qualité — p. 457
2.1.1.2.    Deuxième — p. 458
2.1.1.3.    Troisième — p. 460
2.1.1.4.    Quatrième — p. 461
2.1.1.5.    Cinquième — p. 463
2.1.1.6.    Sixième — p. 465
2.1.1.7.    Septième — p. 466
2.1.2.    Pour quelle raison il est convenable de suivre [toute personne] qui possède ces caractéristiques — p. 469
2.2.    Pourquoi il est nécessaire de le suivre — p. 470
2.2.1.    Abrégé liminaire — p. 470
2.2.2.    Explication détaillée — p. 470
2.3.    La manière de le suivre — p. 491
2.3.1.    Proprement dite — p. 491
2.3.1.1.    Comment tout d’abord on recherche le maître — p. 491
2.3.1.1.1.    On le recherche et on le suit avec dévotion — p. 491
2.3.1.1.2.    Raisons de s’appliquer ainsi à le suivre, expliquées par des exemples — p. 502
2.3.1.1.2.1.    Exemples qui illustrent le fait que cela est utile pour soi-même — p. 502
2.3.1.1.2.2.    Exemples qui illustrent la nécessité de la dévotion — p. 506
2.3.1.2.    Comment on s’applique à le réjouir par la manière que l’on a de le suivre — p. 509
2.3.1.2.1.    On le réjouit par des offrandes matérielles — p. 509
2.3.1.2.2.    Par sa conduite — p. 520
2.3.1.2.2.1.    Corporelle — p. 520
2.3.1.2.2.1.1.    Conduite qu’il faut adopter — p. 520
2.3.1.2.2.1.2.    Comportements à bannir — p. 526
2.3.1.2.2.2.    Verbale — p. 532
2.3.1.2.2.2.1.    Conduite qu’il faut adopter — p. 532
2.3.1.2.2.2.2.    Comportements à bannir — p. 535
2.3.1.2.2.3.    Mentale — p.  538
2.3.1.2.2.3.1.    Conduite qu’il faut adopter — p. 538
2.3.1.2.2.3.2.    Comportements à bannir — p. 541
2.3.1.2.3.    Par sa pratique — p. 547
2.3.2.    Bienfaits de procéder ainsi — p. 549
Chapitre IX. Abandonner les mauvaises fréquentations — p. 559
1.    Abrégé liminaire — p. 559
2.    Explication détaillée — p. 560
2.1.    Caractéristiques des précepteurs de vice — p. 560
2.2.    Raisons d’en bannir la fréquentation — p. 564
2.2.1.    Inconvénients de les fréquenter — p. 564
2.2.1.1.    En général — p. 564
2.2.1.2.    En particulier — p. 569
2.2.2.    Recommandation de s’en écarter — p. 584
2.2.2.1.    Proprement dite — p. 584
2.2.2.2.    Exemples montrant qu’il est raisonnable, après réflexion, de les éviter — p. 586
2.2.2.2.1.    Exemple des brigands, pour illustrer le fait qu’il faut éviter les mauvais maîtres — p. 586
2.2.2.2.2.    Exemple de l’escorte et de la caravane de marchands, pour montrer qu’il faut se garder d’un faux-semblant de Dharma — p. 588
2.3.    Bienfaits qu’il y a à ne les point approcher — p. 591
Chapitre X. Comment le maître enseigne [le Dharma] — p. 597
1.    Transition — p. 597
2.    Traitement proprement dit du thème de ce chapitre — p. 598
2.1.    A qui [ce maître] enseigne — p. 598
2.2.    La manière d’enseigner — p. 604 
2.2.1.    Comment présenter les étapes successives — p. 604
2.2.1.1.    Explication proprement dite — p. 604
2.2.1.2.    Bienfaits d’un tel enseignement — p. 605
2.2.1.3.    Inconvénients de ne pas enseigner — p. 610
2.2.2.    Quel Dharma enseigner — p. 616
2.2.2.1.    En général — p. 616
2.2.2.2.    En particulier — p. 616
2.2.3.    Comment l’enseigner — p. 620
2.2.3.1.    Rejeter les pratiques contraires (mi-mthun-pa’i phyogs spang-ba) — p. 620
2.2.3.2.    Adopter les pratiques adaptées — p. 621
2.2.3.2.1.    Préparation — p. 621
2.2.3.2.2.    Partie principale — p. 622
2.2.3.2.2.1.    Réflexion parfaite — p. 622
2.2.3.2.2.2.    Entraînement parfait — p. 627
2.2.3.2.3.    Conclusion — p. 628
2.3.    Bienfaits qu’il y a à enseigner ainsi — p. 630
3.1.2.1.3.    XI. Comment le disciple reçoit [cet enseignement] — p. 636
1.    Abrégé liminaire — p. 636
2.    Explication détaillée — p.
2.1.    Avantages et inconvénients d’enseigner à tel ou tel auditeur — p. 636
2.1.1.    Abrégé liminaire — p. 636
2.1.2.    Explication détaillée — p. 638
2.1.2.1.    Trente-six défauts [des mauvais auditeurs] — p. 638
2.1.2.2.    Trente-six qualités [des bons auditeurs] — p. 641
2.2.    Quand recevoir l’enseignement — p. 645
2.3.    Comment recevoir l’enseignement — p. 647
2.3.1.    Explication proprement dite — p. 647
2.3.1.1.    Préparation — p. 647
2.3.1.2.    Partie principale — p. 647
2.3.1.2.1.    Réflexion parfaite — p. 647
2.3.1.2.2.    Mise en œuvre parfaite — p. 655
2.3.1.3.    Conclusion [de l’enseignement] — p. 657
2.3.2.    Bienfaits — p. 658
XII. Exposé développé des subdivisions du Dharma qu'il s'agit d'exposer  — p. 672
1.    Abrégé liminaire — p. 672
2.    Explication détaillée — p. 675
2.1.    Les systèmes infidèles, qu’il faut rejeter — p. 675
2.1.1.    Abrégé liminaire — p. 675
2.1.2.    Explication détaillée — p. 675
2.1.2.1.    Les six maîtres (ston-pa drug) — p. 675
2.1.2.1.1.    Système de ’Od-srung rdzogs-byed — p. 675
2.1.2.1.2.    Système de gNag-lhas kyi bu — p. 676
2.1.2.1.3.    Système de Mi-pham skra’i lwa-ba can — p. 676
2.1.2.1.4.    Système de Ka-ta’i bu Nog-can — p. 678
2.1.2.1.5.    Système de gCer-bu-pa gNyen gyi bu — p. 679
2.1.2.1.6.    Réfutation — p. 680
2.1.2.1.6.1.    Réfutation générale du karman « singulier réel » — p. 680
2.1.2.1.6.1.1.    Réfutation de la quiddité du karman — p. 680
2.1.2.1.6.1.2.    Réfutation de l’acte (byed-pa) — p. 680
2.1.2.1.6.1.3.    Réfutation de la complète maturation (vipåka) — p. 682
2.1.2.1.6.2.    Réfutation de l’idée selon laquelle seul le karman est cause — p. 683 [noter une remarque sur le fait que cette critique s’applique aussi à certains bouddhistes, p. 684].
2.1.2.1.6.3.    Réfutation du karman antérieur — p. 684
2.1.2.1.6.4.    Egalité de puissance (nus-pa mtshungs-pa) — p. 685
2.1.2.1.6.5.    La conséquence fatale de l’impossibilité de la fructification des actes — p. 685
2.1.2.2.    Les vingt vues relatives à la « collection destructible » — p. 685
2.1.2.3.    Les soixante-deux vues — p. 687
2.1.2.3.1.    Les dix-huit vues relatives à une limite extrême antérieure — p. 688
2.1.2.3.1.1.    Quatre doctrines affirment que tout est permanent — p. 688
2.1.2.3.1.2.    Quatre affirment que certainement choses sont vouées à la destruction — p. 689
2.1.2.3.1.3.    Quatre posent que les limites extrêmes existent et qu’il n’y a rien au-delà, etc. — p. 690
2.1.2.3.1.4.    Quatre vues qui rejettent les dieux et les hommes — p. 691 [doctrine sceptique]
2.1.2.3.1.5.    Deux vues qui disent qu’il n’y a pas de cause — p. 691
2.1.2.3.2.    Les quarante-deux vues relatives à une extrémité postérieure — p. 692
2.1.2.3.2.1.    Seize posent l’existence du sentiment (saµjña, ’du-shes) — p. 692
2.1.2.3.2.2.    Huit doctrines posent son inexistence — p. 693
2.1.2.3.2.3.    Huit autres posent qu’il n’est ni existant ni inexistant — p. 694
2.1.2.3.2.4.    Sept doctrines nihilistes — p. 694
2.1.2.3.2.5.    Doctrines professant l’existence du nirvåˆa — p. 695
2.1.2.3.2.6.    Réfutation de ces doctrines éternalistes — p. 695
2.1.2.3.2.7.    Réfutation des deux doctrines nihilistes — p. 698
2.1.2.4.    Les trois cent soixante vues — p. 699
2.1.2.5.    Les onze sectes (sde-tshan) — p. 704
2.1.2.5.1.    Abrégé liminaire — p. 704
2.1.2.5.2.    Explication détaillée — p. 704
2.1.2.5.3.    Récapitulation conclusive et réfutation — p. 714
2.1.2.6.    Les cinq partis  tarka — p. 717
2.1.2.6.1.    Abrégé liminaire — p. 717
2.1.2.6.2.    Explication détaillée — p. 717
2.1.2.6.2.1.    Såµkhya (Grangs-can-pa) — p. 717
2.1.2.6.2.2.    Nyåya - Vaiße∑ika (Bye-brag-pa) — p. 746
2.1.2.6.2.3.    M¥måµsaka (Spyod-pa-pa) — p. 796
2.1.2.6.2.4.    Jaina (gCer-bu-pa) — p. 868
2.1.2.6.2.5.    Carvaka (Phur-bu-pa) — p. 902
2.2.    Les systèmes bouddhistes, qu’il faut adopter — p. 922
2.2.1.    Abrégé liminaire — p. 922
2.2.2.    Explication détaillée — p. 927
2.2.2.1.    Petit Véhicule — p. 927
2.2.2.1.1.    Abrégé liminaire — p. 927
2.2.2.1.1.1.    Íråvaka — p. 927
2.2.2.1.1.1.1.    En général — p. 927
2.2.2.1.1.1.1.1.    Abrégé liminaire — p. 927
2.2.2.1.1.1.1.2.    Explication détaillée — p. 929
2.2.2.1.1.1.1.2.1.    Diverses sectes — p. 929
2.2.2.1.1.1.1.2.2.    Nature — p. 940
2.2.2.1.1.1.1.2.3.    Systèmes philosophiques — p. 942
2.2.2.1.1.1.2.    En particulier — p. 943
2.2.2.1.1.1.2.1.    Abrégé liminaire — p. 943
2.2.2.1.1.1.2.2.    Explication détaillée — p. 988
2.2.2.1.1.1.2.2.1.    Vaibhåßika — p. 988
2.2.2.1.1.1.2.2.2.    Sautråntika — p. 1030
2.2.2.1.1.2.    Pratyekabuddha — p. 1040
2.2.2.2.    Grand Véhicule — p. 1054
2.2.2.2.1.    Mahåyåna causal — p. 1054
2.2.2.2.1.1.    En général — p. 1054
2.2.2.2.1.2.    En particulier — p. 1057
2.2.2.2.1.2.1.    Abrégé liminaire — p. 1057
2.2.2.2.1.2.2.    Explication détaillée — p. 1057
2.2.2.2.1.2.2.1.    Cittamåtra — p. 1057
Thèses — p. 1058
Arguments — p. 1060
Réfutation — p. 1078
Exposé de chacune [des écoles] — p. 1098
Présentation des thèses des partisans de la réalité des modifications aspectuelles — p. 1098
Les partisans de la singularité des modes cognitifs, ou l’école du « demi - œuf [dur] » — p. 1100
Les partisans du nombre déterminé des modes — p. 1100
Les partisans de la non – dualité du multiple — p. 1100
Réfutation — p. 1100
Leurs thèses ne sont pas prouvées — p. 1101
Elles comportent des contradictions — p. 1101 [cinq points]
2.2.2.2.1.2.2.1.1.    Svåtantrika — p. 1116 [noter pp. 1116 sq., la désignation des Sems-tsam-pa comme Rang-rgyud ’og-ma]
2.2.2.2.1.2.2.1.2.    Pråsa∫gika — p. 1141
2.2.2.2.2.    Mahåyåna résultant — p. 1169
2.2.2.2.2.1.    Caractéristiques — p. 1169
2.2.2.2.2.2.    Ce qui est caractérisé (khyad gzhi) — p. 1177
2.2.2.2.2.2.1.    Abrégé liminaire — p. 1177
2.2.2.2.2.2.2.    Explication détaillée — p. 1177
2.2.2.2.2.2.2.1.    Tantra externes — p. 1177
2.2.2.2.2.2.2.1.1.    Présentation de chaque classe — p. 1177
Kr¥ya-tantra — p. 1177
Caryå-tantra — p. 1177
Yoga-tantra — p. 1178
2.2.2.2.2.2.2.1.2.    Présentation commune — p. 1180
2.2.2.2.2.2.2.2.    Tantra internes — p. 1180
2.2.2.2.2.2.2.2.1.    Supériorité sur les tantra externes — p. 1180
2.2.2.2.2.2.2.2.2.    Explication des tantra internes proprement dits — p.
Nature en général — p. 1180
Subdivisions détaillées — p. 1198
Abrégé liminaire — p. 1198
Explication détaillée — p. 1204
Tantra masculins — p. 1204
Tantra féminins — p. 1205
Tantra non duels — p. 1205
3.    Abrégé conclusif — p. 1206
Chapitre XIII. Réflexion sur la difficulté d'obtenir les libertés et attributs [de la précieuse existence humaine]  — p. 1207
1.    Abrégé de sa nature — p. 1207
2.    Présentation détaillée de ses aspects particuliers — p. 1207
2.1.    Réflexion sur la difficulté [d’obtenir les libertés et attributs de la précieuse existence humaine] — p. 1207
2.1.1.    En quel sens cette existence humaine est dépourvue de tout ce qui est contraire [à la marche vers la libération] — p. 1207
2.1.1.1.    Abrégé liminaire — p. 1207
2.1.1.2.    Explication détaillée — p. 1209
2.1.1.2.1.    En quel sens elle est exempte des situations où l’on n’a pas le loisir (mi khom-pa) [de pratiquer la religion] — p. 1209
2.1.1.2.1.1.    Abrégé liminaire — p. 1209
2.1.1.2.1.2.    Explication détaillée — p. 1212
2.1.1.2.1.2.1.    Les huit absences de loisir fondées sur notre propre condition — p. 1212
2.1.1.2.1.2.2.    Les huit absences de loisir accidentelles — p. 1213
2.1.1.2.1.2.3.    Huit absences de loisir mentales de ceux en qui le gotra [comme] absent (rigs-chad) — p. 1214
2.1.1.2.1.3.    Récapitulation conclusive — p. 1216
2.1.1.2.2.    La condition humaine — p. 1217
2.1.1.2.3.    Les six autres [libertés] — p. 1218
2.1.2.    En quel sens elle est pourvue de tout ce qui est propice — p. [les pp. 1219 – 1228 manquent dans l’exemplaire consulté de l’édition de Tarthang Tülku].
2.1.2.1.    Abrégé liminaire — p.*
2.1.2.2.    Explication détaillée — p.*
2.1.2.2.1.    Les attributs intrinsèques — p.*
2.1.2.2.2.    Les attributs extrinsèques — p.*
2.1.3.    Réflexion sur la difficulté qu’il y a à l’obtenir, à partir d’exemples — p.*
2.2.    En ayant pris conscience, manière d’en faire un bon usage — p. 1235
2.2.1.    L’abandon des vaines conduites — p. 1235
2.2.2.    L’adoption d’une conduite sensée — p. 1241
3.    Bienfaits de cette réflexion — p. 1247
Chapitre XIV. Réflexion sur l'impermanence de la vie  — p. 1249
1.    Présentation abrégée — p. 1249
2.    Explication détaillée — p. 1250
2.1.    L’impermanence — p. 1250
2.1.1.    Que nous sommes assurés de mourir — p. 1250
2.1.1.1.    Recommandation de se ressouvenir de la mort — p. 1250
2.1.1.1.1.    Exposé de la nature de chacune [des modalités de] l’impermanence — p. 1250
2.1.1.1.1.1.    Exposé proprement dit — p. 1250
2.1.1.1.1.1.1.    L’impermanence grossière du continuum — p. 1250
2.1.1.1.1.1.1.1.1.    Caducité par interruption de continuum — p. 1250
Caducité du [monde] contenant — p. 1250
Caducité des [êtres] contenus — p. 1254
Corps — p. 1254
Sociétés — p. 1256
Possessions — p. 1258
Bien-être — p. 1260
2.1.1.1.1.1.1.1.2.    Caducité par altération de continuum — p. 1262
2.1.1.1.1.1.1.2.    L’impermanence subtile, ou l’instantanéité [générale des phénomènes] — p. 1264
2.1.1.1.1.1.2.    Abrégé conclusif — p. 1266
2.1.2.    Qu’au moment de la mort rien d’autre [que la Religion] n’est utile — p. 1276
2.1.2.1.    Les activités mondaines ne servent à rien [alors] — p. 1276
2.1.2.1.1.    Rien ne nous accompagnera dans la mort — p. 1276
2.1.2.1.2.    Il n’est rien alors sur quoi l’on se puisse reposer — p. 1283
2.1.2.2.    Comment la Religion, elle, est secourable — p. 1288
2.1.3.    Abrégé conclusif — p. 1291
2.2.    La manière de la méditer — p. 1294
3.    Bienfaits de cette réflexion — p. 1295
Chapitre XV. Réflexion sur la nature de la dévotion (dad-pa) — p. 1299
1.    Abrégé liminaire — p. 1299
2.    Explication détaillée — p. 1299
2.1.    Nature de la foi — p. 1299
2.2.    Pourquoi il est nécessaire de la développer — p. 1307
2.2.1.    Avantages d’avoir foi — p. 1307 
2.2.2.    Inconvénients de ne pas avoir foi — p. 1324
2.3.    Manière de la développer — p. 1326
2.3.1.    Développement de la foi — p. 1326
2.3.1.1.    Présentation des causes, conditions et effets — p. 1326
2.3.1.1.1.    Causes qui produisent la foi — p. 1326
2.3.1.1.1.1.    Ce qui est à adopter, ou les causes productrices de la foi — p. 1326
2.3.1.1.1.1.1.    A l’égard de quel objet naît la foi — p. 1326
2.3.1.1.1.1.2.    De quelle manière elle se développe — p. 1327
2.3.1.1.1.2.    Ce qui est à bannir, ou les conditions qui l’amènent à décliner — p. 1328
2.3.1.1.2.    Conditions qui occasionnent son développement — p. 1330
2.3.1.1.3.    Le fruit : signes dans la méditation — p. 1331
2.3.1.2.    Abrégé conclusif : qu’il convient d’avoir de la dévotion — p. 1333
2.3.2.    Son affermissement — p. 1334
2.3.2.1.    Ce qu’il convient d’adopter — p. 1334
2.3.2.2.    Ce qu’il convient de bannir — p. 1336
3.    Bienfaits — p. 1338
Chapitre XVI. Réflexion sur la causalité des actes  — p. 1341
1.    Abrégé liminaire — p. 1341
2.    Explication détaillée — p. 1342
2.1.    Aspect en concordance avec le mérite — p. 1342
2.1.1.    En général — p. 1342
2.1.2.    En particulier — p. 1343
2.1.2.1.    Les dix vertus qu’il faut adopter — p. 1343
2.1.2.1.1.    Nature du karman — p. 1343
2.1.2.1.2.    Ses fruits — p. 1343
2.1.2.1.2.1.    En général — p. 1343
2.1.2.1.2.2.    En particulier — p. 1344
2.1.2.1.2.2.1.    Les fruits de complète maturation et autres — p. 1344
2.1.2.1.2.2.2.    Les fruits d’expérience conforme [au karman] — p. 1344
2.1.2.1.2.3.    Abrégé conclusif — p. 1346
2.1.2.2.    Les dix vices qu’il faut bannir — p. 1347
2.1.2.2.1.    Les fruits du vice — p. 1347
2.1.2.2.1.1.    Les fruits de complète maturation et autres — p. 1347
2.1.2.2.1.2.    Les fruits d’expérience conforme [au karman] — p. 1349
2.1.2.2.1.3.    Abrégé conclusif — p. 1350
2.2.    Aspect en concordance avec la libération — p. 1351
2.2.1.    Caractéristiques — p. 1351
2.2.2.    Quiddité — p. 1351
2.2.2.1.    Présentation générale des trois véhicules — p. 1351
2.2.2.2.    Exposé détaillé du Grand Véhicule — p. 1357
2.2.2.2.1.    Présentation des points clefs ou les principes (mdo) de la voie — p. 1357
2.2.2.2.2.    Exposé des points essentiels (chings) de la voie — p. 1358
3.    Abrégé conclusif — p. 1360
3.1.    Abrégé conclusif sur ce qui est à adopter et ce qui est à rejeter — p. 1360
3.1.1.    Manière de bannir ce qu’il convient de rejeter — p. 1360
3.1.2.    Manière d’adopter ce qu’il faut adopter — p. 1362
3.2.    Définition de ce qui ultimement est à adopter — p. 1364
3.2.1.    Proprement dite — p. 1364
3.2.2.    Manière de l’adopter — p. 1364
Chapitre XVII. Réflexion sur les souffrances du saµsåra et les béatitudes du nirvåˆa  — p. 1368
1.    Les souffrances du saµsåra — p. 1368
1.1.    Abrégé liminaire — p. 1368
1.2.    Explication détaillée — p. 1370
1.2.1.    Les enfers — p. 1370
1.2.1.1.    Abrégé liminaire — p. 1370
1.2.1.1.1.    Enfers chauds — p. 1370
1.2.1.1.1.1.    Leurs souffrances proprement dites — p. 1370
1.2.1.1.1.1.1.    Les lieux principaux — p. 1370
1.2.1.1.1.1.2.    Leur périphérie — p. 1373
1.2.1.1.1.2.    Durée de la vie dans ces enfers — p. 1375
1.2.1.1.2.    Enfers froids — p. 1377
1.2.1.1.2.1.    Leurs souffrances proprement dites — p. 1377
1.2.1.1.2.2.    Durée de la vie — p. 1378
1.2.2.    Les fantômes affamés — p. 1378
1.2.2.1.    Leurs souffrances proprement dites — p. 1378
1.2.2.2.    Durée de la vie — p. 1381
1.2.3.    Les bêtes — p. 1381
1.2.3.1.    Leurs souffrances proprement dites — p. 1381
1.2.3.2.    Durée de la vie — p. 1382
1.2.4.    Les hommes — p. 1382
1.2.5.    Les titans — p. 1384
1.2.6.    Les dieux — p. 1385
1.3.    Abrégé conclusif — p.  1386
2.    Les béatitudes du nirvåˆa — p.  1387
Chapitre XVIII. La détermination du mode - d'être — p. 1389
1.    Abrégé liminaire sur la nécessité de cette explication — p. 1389
2.    Explication détaillée sur la nature du mode – d’être — p. 1394
2.1.    Présentation de la base en tant qu’indissociabilité des deux réalités — p. 1394
2.1.1.    Quiddité de l’indissociabilité des deux réalités — p. 1394
2.1.2.    Raisons de cette indissociabilité — p. 1396
2.1.2.1.    Abrégé liminaire — p. 1396
2.1.2.2.    Explication détaillée — p. 1397
2.1.2.2.1.    [Du point de vue] conventionnel (tha-snyad) du mode d’apparition (snang-tshul), on distingue les deux réalités — p. 1397
2.1.2.2.2.    [Mais du point de vue] absolu du mode d’être, on les présente sous les espèces de l’unité indissociable — p. 1399
2.2.    Présentation de la voie en tant qu’indissociabilité du saµsåra et du nirvåˆa — p. 1402
2.2.1.    Proprement dite — p. 1402
2.2.1.1.    Où l’on voit que du point de vue du mode d’être, saµsåra et nirvåˆa ne peuvent être dissociés — p. 1402
2.2.1.2.    Que cela n’est pas infirmé par leur mode de manifestation [dissocié] — p. 1403
2.2.2.    Réfutation des contresens à ce sujet — p. 1404
2.3.    Présentation de ce qui est à obtenir en tant qu’indissociabilité de la base et du fruit — p. 1406
2.3.1.    Abrégé de la quiddité — p. 1406
2.3.2.    Explication détaillée de la nature — p. 1407
2.3.2.1.    Définition du maˆ∂ala spontanément établi de la nature — p. 1407
2.3.2.1.1.    Proprement dit — p. 1407
2.3.2.1.1.1.    Abrégé du sens — p. 1407
2.3.2.1.1.2.    Explication développée par l’exemple — p. 1409
2.3.2.1.1.2.1.    Abrégé liminaire — p. 1409
2.3.2.1.1.2.2.    Explication détaillée — p. 1409
2.3.2.1.1.2.2.1.    Exemples illustrant son mode d’existence dans la condition d’être ordinaire — p. 1409
2.3.2.1.1.2.2.2.    Exemples illustrant son mode d’existence dans la condition de ceux qui résident dans les Terres des Órya — p. 1411
2.3.2.1.1.2.2.3.    Exemples illustrant son mode d’existence dans la condition ultime de pureté — p. 1412
2.3.2.1.1.3.    Abrégé conclusif — p. 1413
2.3.2.1.2.    Inventaire de ses dénominations — p. 1414
2.3.2.2.    Réfutation des opinions de ceux qui n’entendent point cela — p. 1417
2.3.3.    Abrégé conclusif — p. 1418
3.    Bienfaits d’une telle compréhension — p. 1419
Chapitre XIX. Les préliminaires de la contemplation  — p. 1421
1.    Abrégé liminaire — p. 1421
2.    Explication détaillée — p. 1422
2.1.    La prise de refuge, fondement de la voie — p. 1422
2.1.1.    Objet du refuge — p. 1423
2.1.1.1.    Abrégé liminaire — p. 1423
2.1.1.2.    Explication détaillée — p. 1423
2.1.1.2.1.    Refuge causal — p. 1423
2.1.1.2.1.1.    Détermination circonstancielle du triple refuge — p. 1423
2.1.1.2.1.2.    Détermination ultime du refuge unique — p. 1423
2.1.1.2.2.    Refuge résultant — p. 1425
2.1.1.2.2.1.    Proprement dit — p. 1425
2.1.1.2.2.2.    Présentation de la connexion [des refuges] causal et résultant — p. 1425
2.1.2.    Manière de prendre refuge — p. 1425
2.1.2.1.    Par la foi (’dun-pa) — p. 1425
2.1.2.2.    De manière rituelle — p. 1426
2.1.3.    Bienfaits de la prise de refuge — p. 1427
2.2.    Le développement de l’esprit d’Eveil, principe (rtsa-ba) de la voie — p. 1429
2.2.1.    Quiddité — p. 1429
2.2.1.1.    Caractéristiques — p. 1429
2.2.1.2.    Nature — p. 1430
2.2.1.3.    Analyse des particularités relatives à la manière dont il se développe — p. 1430
2.2.1.3.1.    Comment il se produit en termes d’esprit (sems) et affections de l’esprit (sems-byung) — p. 1430
2.2.1.3.2.    Comment il se produit en termes de conscience (rnam-shes) et connaissance principielle (ye-shes) — p. 1431
2.2.2.    Subdivisions — p. 1434
2.2.3.    Mode de production — p. 1437
2.2.4.    Bienfaits — p. 1439
2.3.    La méditation de la phase de développement, étai de la voie — p. 1442
2.3.1.    Abrégé liminaire — p. 1442
2.3.2.    Explication détaillée — p. 1442
2.3.2.1.    Préliminaires — p. 1442
2.3.2.2.    Pratique principale — p. 1442
2.3.2.2.1.    Abrégé liminaire — p. 1442
2.3.2.2.2.    Explication détaillée — p. 1443
2.3.2.2.2.1.    La partie principale, ou la phase de développement — p. 1443
2.3.2.2.2.1.1.    Proprement dite — p. 1443
2.3.2.2.2.1.2.    Ses bienfaits — p. 1443
2.3.2.2.2.2.    En appendice, la phase d’achèvement — p. 1443
Chapitre XX. La méditation de la claire lumière suprême — p. 1445
1.    Abrégé liminaire — p. 1445
2.    Explication détaillée — p. 1445
2.1.    La pratique de la quiétude (zhi-gnas), qui est l’expédient (thabs) — p. 1445
2.1.1.    En général — p. 1445
2.1.2.    Particularités — p. 1446
2.1.2.1.    Abrégé liminaire — p. 1446
2.1.2.2.    Explication détaillée — p. 1448
2.1.2.2.1.    Le yoga des canaux et des souffles, qui est le fondement — p. 1448
2.1.2.2.2.    Le yoga de l’entraînement relatif à la constitution vitale (khams), qui est la chose fondée — p. 1454
2.1.2.3.    En quel sens cette [méditation de la quiétude] est un expédient — p. 1459
2.2.    La méditation de l’éminente inspection (lhag-mthong), qui est ce à quoi l’on accède au moyen de cet expédient (thabs-byung) — p. 1460
2.2.1.    Définition de l’éminente inspection de la claire lumière par soi produite — p. 1460
2.2.1.1.    Initialement, la confrontation— p. 1460
2.2.1.2.    Ensuite, la préservation de cet état — p. 1465
2.2.1.3.    Enfin, la manière dont les qualités procèdent de cet état — p. 1468
2.2.2.    Réfutation des autres conceptions, qui sont erronées — p. 1470
2.2.2.1.    Exposé liminaire de trois doctrines sans connexion [ente elles ?] — p. 1470
2.2.2.2.    Leur réfutation de concert avec d’autres [systèmes] analogues — p. 1474
3.    Pratique subséquente [sortie de l’état méditatif] — p. 1477
XXI. Les degrés successifs de l'avancée dans la voie — p. 1479
1.    Abrégé liminaire — p. 1479
2.    Explication détaillée — p. 1481
2.1.    Proprement dite — p. 1481
2.1.1.    Chemin de l’accumulation — p. 1481
2.1.1.1.    En général
— p. 1481
2.1.1.2.    En détail — p. 1482
2.1.1.2.1.    Petit degré du Chemin de l’accumulation — p. 1482
2.1.1.2.2.    Degré moyen  — p. 1483
2.1.1.2.3.    Grand degré — p. 1484
2.1.2.    Chemin de la jonction — p. 1485
2.1.2.1.    En général — p. 1485
2.1.2.2.    En détail — p. 1486
2.1.2.2.1.    « Chaleur » et « Culmination » — p. 1486
2.1.2.2.2.    « Endurance » et « Dharma suprême » — p. 1487
2.1.3.    Chemin de la vision — p. 1488
2.1.4.    Chemin de la méditation — p. 1489
2.1.4.1.    En général — p. 1489
2.1.4.2.    En détail — p. 1489
2.1.4.2.1.    Nature des Terres — p. 1489
2.1.4.2.2.    Leurs qualités  — p. 1492
2.1.4.2.3.    Explication en termes de canaux, souffles, etc. (nang du sbyar-ba) — p. 1492
2.1.4.2.3.1.    Généralités — p. 1492
2.1.4.2.3.2.    Détails — p. 1497
2.2.    Analyse de la manière dont les terres et les chemins sont pourvus de qualités — p. 1498
2.2.1.    Généralités — p. 1498
2.2.2.    Détails — p. 1498
2.2.2.1.    Réfutation d’autres systèmes — p. 1498
2.2.2.2.    Présentation de notre système — p. 1502
XXII. Le fruit de l'ultime aboutissement de la méditation — p. 1504
1.    Abrégé (généralités) — p. 1504
<867> Le fruit résulte de la purification à l'égard des occultations ; il est comparé au soleil qui paraît quand les nuages sont dissipés. La consécration accordée par tous les Eveillés au bodhisattva qui est parvenu au terme du parcours des dix Terres. <868> Suppression de tous les aspects de l'esprit ordinaire ; venue au jour de la connaissance principielle (c'est ce qu'illustrait l'apparition du soleil quand les nuages sont écartés). Apparition des Corps formels sur la base du Corps de Réalité (léger flottement entre le vocabulaire de l'immanence et celui de l'émanation). <869> Comment le substrat universel et les huit consciences se libèrent en cinq connaissances principielles. Correspondance de la triade pure des Corps, connaissances principielles et dimensions pures avec la triade impure des imprégnations psychiques gouvernant respectivement la manifestation corporelle, la manifestation objectale (don) et la manifestation d'environnement (yul). <870> Diverses modalités de la Science des Eveillés, considérée soit en extériorité (la double Science connue par ailleurs) soit en intériorité, auquel cas il n'y a plus d'opposition entre les deux Sciences ni entre les attributs de l'Eveil et les objets connus par le Buddha. Comment la Science connaissant les choses « toutes autant qu'elles sont » (ji-snyed-pa) perçoit le détail de toutes choses telles qu'elles apparaissent aux êtres à convertir et met ainsi l'Eveillé en état de répondre à leurs besoins et aspirations. <871> La Science qui connaît toutes choses « telles qu'elles sont » (ji-lta-ba) les voit comme « primordialement pures à l'exemple de l'espace ». Il n'y a cependant aucune contradiction entre les deux Sciences. Manifestations infiniment variées des Buddha, y compris sous l'aspect de choses inanimées, ou de prostituées, ou d'être d'aspect féroce et effrayant.
2.    Exposé développé — p. 1506 <871 (II f° 185 a)>
2.1.    Généralités — p. 1506
2.2.    Précisions — p. 1510
2.2.1.    Les Corps ou le fondement — p. 1510 <872>
2.2.1.1.    Présentation de chacun des cinq Corps — p. 1510
Il existe des présentations des Corps de l'Eveil en deux, trois, quatre ou cinq termes ; mais ici l'auteur se règle sur le système du sGyu-’phrul drwa-ba des tantra non-duels, lequel comporte la présentation de cinq Corps.
2.2.1.1.1.    Présentation abrégée de la nature des trois premiers Corps — p. 1511 <872>
Le Corps de Réalité est comparé au ciel ; le Corps de jouissance au soleil ou à la lune qui y paraît ; le Corps d'émanation au reflet de ces astres dans un plan d'eau. [873] Trois modalités du Nirmåˆakåya.
2.2.1.1.2.    Le Corps de grand délice sublimé (zag-med bde-ba chen-po'i sku) — p. 1513 <874> [Il s'agit d'un intitulé appliqué aux Corps pour autant qu'ils ne sont « ni identiques ni divers »]
2.2.1.1.3.    Le Corps adamantin immuable et inaltérable — p. 1514 <874>
2.2.1.2.    Leur unité de nature : que ces cinq Corps ne sont pas des substances (rdzas) diverses — p. 1515 <875>
2.2.2.    Les connaissances principielles, ou ce qui repose [sur ce fondement] — p. 1516 <875>
La connaissance principielle de l'Elément Réel correspond au Dharmakåya ; celle du miroir est le pendant du Saµbhogakåya ; <876> celle de l'unité (ou égalité) a pour répondant le Corps du grand délice et les deux dernières, le Nirmåˆakåya. Ces connaissances principielles sont originellement présentes en chacun d'une manière indissociable de l'Intelligence, mais au moment où l'on est dans les voies de l'apprentissage (slob lam), elles ne paraissent pas car elles se trouvent occultées. Les cinq voiles qui les recouvrent sont (1) le substrat universel (pour la connaissance principielle de l'Elément Réel) ; (2) la conscience réceptacle (pour la connaissance principielle du miroir) ; (3) la conscience mentale (pour la connaissance principielle de l'unité) ; (4) l'entendement obnubilé (pour la connaissance principielle qui conçoit les singuliers) ; et (5) les consciences sensibles (pour la connaissance principielle qui accomplit les œuvres). L'auteur présente ensuite la correspondance des cinq obnubilations principales avec ces cinq connaissances principielles, selon le schéma bien connu et inlassablement ressassé jusque dans les livres de vulgarisation sur le bouddhisme tibétain.
<877> L'auteur présente ensuite la quiddité (ngo-bo) de ces cinq connaissances principielles. <878> Elles se trouvent associées les unes à la connaissance de toutes choses « telles qu'elles sont » (connaissances principielles de l'Elément Réel et de l'unité), les autres à la connaissance des choses « toutes autant qu'elles sont » (miroir, accomplissement des œuvres, conception des singuliers). Suit un développement dans le goût de l'Avataµsaka-sËtra où l'auteur explique que les Buddha voient toutes choses en chacune, ce qui est rendu possible <879 sqq.> par le caractère illusoire des perceptions du saµsåra   .
2.2.3.    La Geste (mdzad-pa) ou la nature des activités, autrement dit le déploiement des Corps d'émanation — p. 1528 <883>
Conclusion — p. 1531
L'auteur rappelle le but qu'il s'est proposé en composant ce traité, soit de présenter de façon synthétique, sur la base de tous les sËtra, tantra et ßåstra, tous les points à bannir du saµsåra et tous les points à adopter du nirvåˆa, afin de permettre aux générations futures de comprendre sans erreurs tous les points-clefs de ces sËtra et tantra.
La réversion des mérites <887 sqq.> comporte des vœux pour l'obtention de toutes les perfections des Buddha des cinq clans <887 – 889>, puis, plus généralement, en vue du bien de tous les êtres sous ses formes variées <889 – 890>, en vue de la préservation de ce Dharma <890 - 893>.
Le colophon se trouve p. <893> ; l'œuvre est signée du dGe-slong rdo-rje ’dzin-pa Tshul-khrims blo-gros et a été composée dans un lieu appelé Grwa-ri rin-po-che padma brtsegs-pa'i ’dab | dpal-ldan lhun gyis grub-pa'i gling. Quelques pages plus haut, on trouve aussi le nom Dri-med ’od-zer.
 
Yid-bzhin mdzod kyi don khrid zab-don rdo-rje snying-po
[pp. 890 - 921]
Introduction — p. 895   (f° 1b) : vers de louange, à la faveur desquels on découvre que l'objet de ce manuel (don khrid) du Yid-bzhin mdzod est de « concentrer tous les points-clefs du sens essentiel [qui est] l'ultime point d'aboutissement de tous les mantra secrets ».
Développement : il comportera trois parties, soit (i) la préparation de la série psychique (rgyud sbyang-ba) par les pratiques préliminaires (sngon-’gro) ; (ii) le corps de la pratique ; (iii) en appendice, la manière de dissiper les obstacles.
1. la préparation de la série psychique par les pratiques préliminaires — p. 895 (f° 1b)
1.1. La grâce, [ou] le moment de la méditation du maître — p. 895
1.2. La foi, l'endurance et le renoncement — p. 898 (f° 3a)
1.2.1. Réflexion sur la difficile obtention des libertés et des attributs [de la précieuse existence humaine] — p. 898
1.2.2. Réflexion sur l'impermanence de la vie — p. 899 (f° 3b)
1.2.3. Réflexion propice au développement de la foi — p. 899
1.2.4. Réflexion sur la causalité des actes — p. 899
1.2.5. Réflexion sur les inconvénients du saµsåra — p. 899
1.2.6. Entraînement à l'esprit d'Eveil du Mahåyåna — p. 899
1.3. Préliminaires corporels — p. 899 [il s'agit de s'appliquer à une série de vingt exercices yogiques qui ne sont pas présentés en ce point du texte]
2. Le corps de la pratique — p. 900 (f° 4a)
2.1. Yoga de vie (srog gi rnal-’byor) — p. 900
2.1.1. Entraînement à la visualisation préliminaire — p. 900
2.1.2. Pratique principale : subjugation (dbang du bsdu-ba) — p. 901 (f° 4b)
2.1.3. Pratique subséquente : « favoriser le développement (bogs dbyung) [des expériences] au moyen du souffle hermaphrodite (ma-ning gi rlung) » — p. 902 (f° 5a)
2.2. Yoga de l'effort (rtsol-ba'i rnal-’byor) — p. 903 (f° 5b)
2.2.1. La « féroce » pour préliminaire — p. 903
2.2.2. Pratique principale — p. 903
2.2.3. Pratique subséquente : intérioriser la claire lumière — p. 904 (f° 6a)
2.3. Yoga de la Mahåmudrå de claire lumière — p. 904 (Noter, pp. 906 sqq. / f° 7a sqq., un assez long développement sur les expériences méditatives et la manière de les traiter, suivi par l'un des seuls textes de l'œuvre de Klong-chen-pa où soit clairement posé un rapport entre provisions de mérite et Corps formels)
2.4. Yoga du transfert [de conscience] — p. 909 (f° 8b)
2.4.1. Préparation — p. 909
2.4.2. Examen des signes annonciateurs de la mort — p. 909 [contient quelques prescriptions relatives au rite pour « tromper la mort » (bslu-ba'i cho-ga)]
2.4.3. Le transfert [de conscience] au moment [propice] — p. 911 (f° 9b)
2.5. Yoga de l'état intermédiaire post-mortem (bar-do) — p. 912 (f° 10a)
2.5.1. Entraînement — p. 912
2.5.1.1. Pratique diurne — p. 912
2.5.1.2. Pratique nocturne — p. 913 (f° 10b)
— Reconnaissance de l'état de rêve — p. 913
— Entraînement à la reconnaissance de l'irréalité des perceptions du rêve — p. 913
— Méditation de la claire lumière de l'état intermédiaire — p. 913
2.5.2. Reconnaissance — p. 914 (f° 11a) [Le texte porte sur la reconnaissance des signes caractéristiques des diverses phases de l'agonie et sur les expériences correspondantes, comparées à celles dont il a été question lors de l'exposé des divers aspects de la méditation]
2.5.3. Cueillir le fruit du karman (las kyi ’phro mthud-pa) — p. 915 (f° 11b)
3. La manière de dissiper les obstacles — p. 916 (f° 12a)
3.1. Comment, par une conduite continuellement ordonnée, on évite que ne survienne des obstacles — p. 916 [Comporte l'explication de vingt et un exercices physiques]
3.2. Comment détruire les obstacles à la stabilité du recueillement, qui sont la torpeur et l'agitation — p. 918 (f° 13a)
3.2.1. Conduite — p. 918
3.2.2. Alimentation — p. 918
3.2.3. Souffles — p. 918 bis   (f°13b)
3.2.4. Visualisations — p. 918 bis
3.3. Remèdes aux obstacles particuliers rencontrés dans les exercices relatifs aux souffles, etc. — p. 919 (f° 14a)
Conclusion — p. 921 (f° 15 a)

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