Table du Byang-chub lam bzang (Ngal-gso skor gsum)
rDzogs-pa chen-po sems-nyid ngal-gso’i
gNas gsum dge-ba gsum gyi don-khrid
Byang-chub lam bzang
NoticegNas gsum dge-ba gsum gyi don-khrid
Byang-chub lam bzang
Cet « excellent chemin de l’Eveil » comporte 105 pages ; au milieu de la p. 2 (f° 1 b) se trouve une vignette représentant Guru Jo-’ber ; de part et d’autre de la p. 4, on en voit deux, celle de gauche représentant ’Khrul-zhig Seng-ge rgyab et celle de droite Me-long rdo-rje.
Il s’agit de la présentation abrégée de tous les contenus du Sems-nyid ngal-gso et de son commentaire, arrangés sous une forme pratique. L’énorme masse des quelques 1169 pages du grand commentaire s’y trouve en effet ramenée à 141 méditations graduées (92 pour le Pâramitâyâna, 20 pour le Mantrayâna et 29 pour la grande complétude). Outre sa valeur pour le méditant, on peut essentiellement remarquer trois points intéressants dans ce traité :
(1) Les lignées de maîtres commençant chacun des trois chapitres peuvent être utilement comparées aux éléments des biographies traditionnelles (rnam-thar) ;
(2) Dans le chapitre consacré à la pratique des tantra, une classification de ceux-ci est supposée qui devrait être comparée précisément à celles qui figurent ailleurs dans l’œuvre de l’auteur (notamment dans le Yid-bzhin mdzod, peut-être antérieur (car il est cité dans le Ngal-gso skor gsum — mais pas son commentaire, ce qui nous donne à penser que peut-être il s'est écoulé un laps de temps assez long entre la composition de l'un et de l'autre), et dans le Grub-mtha’ mdzod, qui nous paraît postérieur à la plus grande partie de la trilogie (puisqu’il fait référence au Ngal-gso skor gsum), mais peut-être antérieur à certaines de ses parties, dont les trois don-khrid, non mentionnés dans le Legs-bshad rgya-mtsho, qui lui-même cite le Grub-mtha’ mdzod) ;
(3) Dans la section consacrée au rDzogs-chen, l’auteur paraît rattacher les instructions qu’il donne au système du khregs-chod, ce qui est intéressant dans la mesure où cela associe le présent traité à la « rubrique des instructions cruciales » (man-ngag-sde), alors qu’on aurait pu imaginer, au vu du seul Sems-nyid ngal-gso, qu’il relevait plutôt de la «rubrique de l’esprit» (Sems-sde), dont il présente plusieurs traits caractéristiques, notamment son introduction au rDzogs-chen par le biais de pratiques analogues au gzhi-gnas et au lhag-mthong classiques du Pâramitâyâna.
Incidemment, on peut aussi remarquer que l’auteur ne fait pas référence au sGyu-ma ngal-gso dans des passages pourtant très parallèles ; ce qui tendrait à corroborer l’hypothèse, selon laquelle le Ngal-gso skor gsum aurait été composé d’une manière linéaire, dans l’ordre selon lequel il est supposé être lu et pratiqué. L’argument, cependant, n’est pas absolument concluant, dans la mesure où ce texte, dont la finalité est exclusivement pratique, est extraordinairement pauvre en citations, en comparaison du style habituel de l’auteur (ce qui, soit dit en passant, ne nous paraît pas pour autant permettre un doute quant à son authenticité). De plus, et surtout, comme on vient de le rappeler, ce texte est apparemment postérieur au Legs-bshad rgya-mtsho, lui-même postérieur à tout le cycle et même au Grub-mtha’ mdzod. Il est donc à plus forte raison postérieur au sGyu-ma ngal-gso.
Table détaillée
Prologue — p. 2 — Hommage, engagement de composer le traité, sommaire.
1. Instructions relatives au « véhicule causal des caractéristiques » — p. 3
1.1. La lignée des maîtres — p. 3
1.1.1. La tradition « vaste » de l’entraînement progressif — p. 3
1.1.2. La tradition profonde et vaste qui enseigne les degrés de maîtrise (drod-tshad) du
recueillement [selon] les terres et les chemins — p. 4
1.1.3. La tradition de la vue profonde qui enseigne le mode - d’être de la Réalité — p. 5
1.2. Les instructions pour la pratique — p. 6
1.2.1. La difficulté d’obtenir les libertés et les attributs — p. 6
1.2.1.1. Réflexion sur les libertés — p. 6
1.2.1.2. Réflexion sur les attributs — p. 7
1.2.1.3. Réflexion sur le précipice des destinées infortunées — p. 9
1.2.1.4. Réflexion sur les illustrations de la difficulté d’obtenir [la précieuse
existence humaine] — p. 9
1.2.1.5. Réflexion sur les dénombrements comparatifs des diverses classes d’êtres
humains (indices du peu de probabilité d’obtenir une situation propice à la
pratique religieuse) — p. 9
1.2.1.6. Réflexion sur l’absurdité de gâcher [la précieuse existence humaine]
— p.10
1.2.1.7. Réflexion sur la connexion des causes et conditions — p. 10. (Sous cet
intitulé, on trouve une réflexion sur les conditions qui pourraient rendre
infructueuse la précieuse existence humaine, et sur la nécessité de tirer parti du
temps où l’on n’a pas à pâtir de telles conditions)
1.2.1.8. Réflexion sur la ronde des morts et renaissances — p. 11
1.2.1.9. Réflexion faisant l’éloge des libertés et des attributs — p. 11
1.2.1.10. Réflexion sur la joie souveraine [de les posséder] — p. 11
1.2.2. L’impermanence de la vie — p. 12
1.2.2.1. Réflexion sur l’impermanence à partir de la considération des agrégats,
supports [de notre existence] — p. 12
1.2.2.2. Réflexion sur l’impermanence à partir de la considération de la caducité
des êtres les plus puissants, tels les dieux du panthéon brahmanique. — p. 13
1.2.2.3. Réflexion sur l’impermanence à partir de la considération de la formation
et de la destruction du monde — p. 13
1.2.2.4. Réflexion sur l’impermanence à partir de la considération des Saints [du
passé] — p. 13
1.2.2.5. Réflexion sur l’impermanence à partir de la considération de l’incertitude
de l’heure de la mort — p. 14
1.2.2.6. Réflexion sur l’impermanence à partir de la considération de la nature des
phénomènes conditionnés — p. 14
1.2.2.7. Réflexion sur l’impermanence à partir de la considération des causes de
mort possible — p. 14
1.2.2.8. Réflexion sur l’impermanence à partir de la considération du fait qu’il
faudra partir seul [au moment de la mort] — p. 15
1.2.2.9. Réflexion sur l’impermanence à partir de la considération de nos
contemporains. — p. 15
1.2.2.10. Réflexion sur l’impermanence à partir de la considération du caractère
indigne de confiance [des situations apparemment stables]. — p. 16
1.2.2.11. Réflexion sur l’impermanence à partir de la considération du caractère
imprévisible des événements — p. 16
1.2.2.12. Méditation constante sur l’impermanence. — p. 16
1.2.3. Les souffrances du samsâra — p. 17
1.2.3.1. Le développement général du désenchantement (skyo-shas) — p. 17
1.2.3.2. Réflexion sur le détail des souffrances du samsâra — p. 18
1.2.3.2.1. Les trois destinées infortunées — p. 18
1.2.3.2.1.1. Les enfers
1.2.3.2.1.1.1. Les huit enfers chauds — p. 18
1.2.3.2.1.1.2. Les enfers périphériques — p. 19
1.2.3.2.1.1.3. Les enfers huit froids — p. 20
1.2.3.2.1.1.4. Les enfers particuliers — p. 21
1.2.3.2.1.2. Les esprits avides — p. 22
1.2.3.2.1.3. Les animaux — p. 22
1.2.3.2.2. Les souffrances humaines — p. 23
1.2.3.2.2.1. en général — p. 23
1.2.3.2.2.2. En détail
1.2.3.2.2.2.1. Les souffrances de la naissance — p. 23
1.2.3.2.2.2.2. Les souffrances de la vieillesse — p. 24
1.2.3.2.2.2.3. Les souffrances de la maladie — p. 25
1.2.3.2.2.2.4. Les souffrances de la mort — p. 25
1.2.3.2.2.2.5. La souffrance d’être confronté à ce qui est déplaisant et d’être
séparé de ce qui est plaisant — p. 26
1.2.3.2.3. Les souffrances des titans — p. 27
1.2.3.2.4. Les souffrances des dieux — p. 27
1.2.3.3. Evaluation de la situation présente — p. 28
1.2.4. La causalité des actes — p. 28
1.2.4.1. Les actes vicieux — p. 28.
1.2.4.1.1. Trois vices du corps — p. 28
1.2.4.1.2. Quatre de la parole — p. 29
1.2.4.1.3. Trois de l’esprit — p. 29
1.2.4.2. Les actes vertueux — p. 30
1.2.4.2.1. Vertus méritoires — p. 30
1.2.4.2.1.1. Trois du corps — p. 30
1.2.4.2.1.2. Quatre de la parole — p. 30
1.2.4.2.1.3. Trois de l’esprit — p. 31
1.2.4.2.2. Vertus libératrices — p. 31
1.2.4.3. Réflexion sur le fait que tout est de la nature du karman —p. 31
1.2.5. La manière de suivre le précepteur de vertu (dge-ba’i bshes-gnyen) — p. 32
1.2.5.1. Réfléchir à sa nature — p. 32
1.2.5.1.1. Réflexion sur les particularités des maîtres : qu’il faut suivre les bons
et rejeter les mauvais. — p. 32
1.2.5.1.2. L’examen des caractéristiques — p. 33
1.2.5.1.2.1. Les caractéristiques ordinaires — p. 33
1.2.5.1.2.2. Les caractéristiques extraordinaires — p. 34
1.2.5.1.3. L’éloge de leurs qualités — p. 34
1.2.5.1.3.1. Première partie — p. 34
1.2.5.1.3.2. Deuxième partie — p. 35
1.2.5.1.3.3. Troisième partie — p. 36
1.2.5.2. Méditer le [guru-] yoga — p. 37
1.2.5.2.1. Le yoga continuel — p. 37
1.2.5.2.2. Les quatre activités — p. 38
1.2.5.2.3. Racheter les maladies et la mort — p. 39 (Il s’agit d’une offrande de
ku-sa-li).
1.2.6. La prise de refuge — p. 40
1.2.6.1. Diverses sortes — p. 40
1.2.6.2. Bienfaits de la prise de refuge — p. 41
1.2.6.3. La manière de prendre refuge — p. 41
1.2.7. Les quatre pensées illimitées — p. 42
1.2.7.1. Considération des bienfaits — p. 42
1.2.7.2. La manière de les méditer proprement dite — p. 43
1.2.7.2.1. Méditation de l’équanimité (btang-snyoms) — p. 43
1.2.7.2.1.1. Son objet — p. 43
1.2.7.2.1.2. Modes de l’esprit — p. 44
1.2.7.2.2. Méditation de la bienveillance (byams-pa) — p. 44
1.2.7.2.2.1. Son objet — p. 44
1.2.7.2.2.2. Modes de l’esprit — p. 44
1.2.7.2.3. Méditation de la compassion (snying-rje) — p. 45
1.2.7.2.3.1. Son objet — p. 45
1.2.7.2.3.2. Modes de l’esprit — p. 45
1.2.7.2.4. Méditation de la joie (dga’-ba) — p. 45
1.2.7.3. L’entraînement (rtsal sbyang-ba)— p. 45
1.2.8. Le développement de l’aspiration au suprême Eveil, avec ses préceptes.
— p. 46
1.2.8.1. Considération des bienfaits — p. 46
1.2.8.2. La manière de développer la pensée d’Eveil proprement dite— p. 47
1.2.8.2.1. Préliminaires — p. 47
1.2.8.2.1.1. Prosternations — p. 47
1.2.8.2.1.2. Offrandes — p. 47
1.2.8.2.1.3. Confession des fautes — p. 48
1.2.8.2.1.4. Se féliciter des mérites — p. 49
1.2.8.2.1.5. Prier les Eveillés, les bodhisattva et les maîtres de faire tourner la
roue du Dharma — p. 49
1.2.8.2.1.6. Les prier de ne point passer en nirvâna — p. 50
1.2.8.2.1.7. Réversion des mérites — p. 50
1.2.8.2.2. Pratique principale — p. 51
1.2.8.3. Considération des préceptes — p. 53
1.2.8.3.1. Préceptes de l’esprit d’Eveil d’aspiration — p. 53
1.2.8.3.1.1. L’égalisation de soi-même et d’autrui — p. 53
1.2.8.3.1.2. L’échange de soi-même et d’autrui — p. 54
1.2.8.3.1.3. Préférer autrui à soi — p. 54
1.2.8.3.2. Préceptes de l’esprit d’Eveil d’engagement — p. 55
1.2.8.3.2.1. La générosité — p. 55
1.2.8.3.2.2. La discipline éthique — p. 56
1.2.8.3.2.2.1. Sa nature — p. 56
1.2.8.3.2.2.2. Préceptes particuliers — p. 56
1.2.8.3.2.2.2.1. Considérer toute situation comme symbolique des éléments
du chemin spirituel et de son fruit ;
1.2.8.3.2.2.2.2. Former des vœux pour être en mesure de faire le bien
d’autrui à l’avenir
1.2.8.3.2.3. La patience — p. 59
1.2.8.3.2.3.1. Patience dotée d’objet intentionnel — p. 60
1.2.8.3.2.3.2. Patience sans objet intentionnel — p. 60
1.2.8.3.2.4. Le courage — p. 61
1.2.8.3.2.5. La contemplation — p. 61
1.2.8.3.2.5.1. Réflexion sur le caractère inconstant de toute chose — p. 61
1.2.8.3.2.5.2. Réflexion sur les inconvénients du désir — p. 62
1.2.8.3.2.5.3. Réflexion sur les inconvénients des relations humaines — p. 63
1.2.8.3.2.5.4. Réflexion sur les inconvénients des distractions — p. 64
1.2.8.3.2.5.5. Réflexion sur les avantages des déserts (dben-pa) — p. 64
1.2.8.3.2.5.6. La contemplation proprement dite — p. 65
1.2.8.3.2.6. Le discernement — p. 65
1.2.8.3.2.6.1. Considérer la nature des apparences à l’exemple des huit
illustrations de l’illusion — p. 65
1.2.8.3.2.6.2. Examen de la vacuité — p. 66
1.2.8.3.2.6.3. Recueillement sur le sens de la vue médiane exempte de
limites - extrêmes — p. 66
1.3. Conclusion de la section relative au véhicule des caractéristiques—
2. Instructions relatives au « véhicule résultant des formules secrètes » — p. 67
2.1. La lignée des maîtres — p. 67
2.2. Les instructions de pratique — p. 69
2.2.1. Les enseignements sur le « développement » et l’« achèvement » du Krîya-
tantra — p. 69 (une pratique d’Avalokitesvara)
2.2.2. Les enseignements sur le « développement » et l’» achèvement » du Caryâ-
tantra — p. 70 (une pratique d’Acala)
2.2.3. Les enseignements sur le « développement » et l’» achèvement » du
Yoga-tantra — p. 71 (une pratique de Ngan-song sbyong-ba)
2.2.4. Les enseignements sur le « développement » et l’« achèvement » du
Mahâyoga insurpassable — p. 74
2.2.4.1. Tantra masculins — p. 74 (une pratique de Hayagrîva)
2.2.4.2. Tantra féminins — p. 75 (pratique de Heruka gal-po)
2.2.4.2.1. Phase de développement — p. 75
2.2.4.2.2. Phase d’achèvement « avec forme » (snang-bcas) — p. 76
2.2.4.2.3. Phase d’achèvement « sans forme » (snang med) — p. 77
2.2.4.3. Tantra non-duels — p. 77
2.2.4.3.1. Méditation générale des phases de développement et d’achèvement
— p. 77
2.2.4.3.1.1. La phase de développement étendue, méditation purifiant la
naissance à partir d’un œuf — p. 77
2.2.4.3.1.2. Méditation d’extension moyenne purifiant la naissance à partir
d’une matrice — p. 78
2.2.4.3.1.3. Méditation abrégée pour purifier les vâsanâ de génération
spontanée à partir de la moiteur — p. 78
2.2.4.3.1.4. Méditation extrêmement abrégée pour purifier les vâsanâ de
naissance miraculeuse — p. 79
2.2.4.3.2. Méditation particulière de la voie profonde — p. 80
2.2.4.3.2.1. La grâce, point-clef des accomplissements — p. 80
2.2.4.3.2.2. Les préliminaires, point-clef qui dissipe les obstacles en chemin
— p. 80
2.2.4.3.2.2.1. Purification des canaux (rtsa) — p. 80
2.2.4.3.2.2.2. Purification des souffles (rlung) — p. 81
2.2.4.3.2.2.3. Purification des gouttes (thig-le) — p. 81 (la méditation de
gtum-mo)
2.2.4.3.2.3. La pratique principale, point-clef singulier — p. 82
2.2.4.3.2.3.1. La connaissance principielle qui se manifeste par le haut
— p. 82
2.2.4.3.2.3.2. La connaissance principielle qui se manifeste par le bas
— p. 83
2.2.4.3.2.3.3. La connaissance principielle inconcevable [de]
Samantabhadra — p. 84
2.3. Vers de conclusion de cette section — p. 85
3. Instructions relatives au « véhicule insurpassable de la grande complétude, fruit de la secrète essence dont le sens est secret » — p. 85
3.1. La lignée des maîtres — p. 86
3.2. Les instructions de pratique — p. 87
3.2.1. La décision de la vue — p. 87
3.2.1.1. Enseignement de la vacuité d’inexistence de l’objet préhensible externe
— p. 87
3.2.1.1.1. Présentation de l’irréalité des apparences au moyen des huit
illustrations de l’illusion — p. 87
3.2.1.1.2. Enseignement relatif à la vacuité de l’objet, qui à l’examen s’avère
introuvable — p. 89
3.2.1.2. Exposé du caractère infondé [de l’esprit] préhensile interne — p. 89
3.2.1.2.1. Présentation de la conscience comme quelque chose de clair par soi
(rang gsal) — p. 89
3.2.1.2.2. Présentation du caractère infondé de la conscience — p. 90
3.2.2. La préservation de la condition [révélée par la vue] dans la méditation
— p. 91
3.2.2.1. Exposé général de la manière de méditer en fonction des trois niveaux
d’aptitude
3.2.2.1.1. Les pratiquants les moins doués — p. 91
3.2.2.1.1.1. La recherche de la quiétude — p. 91
3.2.2.1.1.2. Le développement de l’éminente inspection — p. 93
3.2.2.1.1.3. La méditation conjointe — p. 94
3.2.2.1.2. Les pratiquants de capacité moyenne — p. 94
3.2.2.1.2.1. La méditation du vide, pareille à l’espace — p. 94
3.2.2.1.2.2. La méditation de la clarté, pareille à un miroir — p. 95
3.2.2.1.2.3. La méditation de la venue au jour, pareille à une vague — p. 95
3.2.2.1.3. Les pratiquants de capacité supérieure — p. 95
3.2.2.2. Exposé particulier de l’habileté dans la méthode — p. 96
3.2.2.2.1. Méthodes de soutien pour la quiétude —p. 96
3.2.2.2.1.1. La pratique de la quiétude — p. 96. Diverses manières de méditer
et comment remédier aux obstacles particuliers de chacune.
3.2.2.2.1.2. Ce qui lui profite (de la bogs ’byin-pa) — p. 97
3.2.2.2.2. Méthodes de soutien pour le développement de l’éminente
inspection — p. 97
3.2.2.2.2.1. Le développement de l’éminente inspection — p. 98
3.2.2.2.2.2. Ce qui lui profite — p. 98
3.2.2.2.3. La conjonction de la quiétude et de l’éminente inspection — p. 98
3.2.2.2.3.1. Le développement de cette conjonction — p. 98
3.2.2.2.3.2. Ce qui lui profite — p. 99
3.2.2.2.4. « Passer le cap » (la-bzla-ba) — p. 99
3.2.3. Le fruit, l’abandon de [tout] espoir et de [toute] crainte — p. 100
3.2.3.1. La quiddité propre de l’Elément de Réalité — p. 100
3.2.3.2. Les manifestations de l’Elément (dbyings-snang), nature des Corps — p. 100
3.2.3.3. Le divertissement de connaissance principielle issu des Corps — p. 102
3.3. — Conclusion de la section consacrée à la grande complétude — p. 103
4. Conclusion générale du traité — pp. 103 - 105.
Elle contient des remarques pratiques sur la manière de mettre en application les 141 méditations graduées qui constituent le versant pratique du Sems-nyid ngal-gso.
De la manière la plus condensée, on consacrera un jour à chacune, ce qui donne « quatre mois et vingt et un jours » d’une retraite d’étude et de pratique. De manière moyenne, chaque point sera médité trois jours, ce qui donne « un ans, deux mois et trois jours ». De manière développée, à chacun sera consacré cinq jours, ce qui donne « un an, onze mois et quinze jours ». Enfin, de la manière la plus développée, on passera une semaine sur chaque thème, ce qui donne « deux ans, six mois et vingt-sept jours ».
Cette conclusion s’achève sur des souhaits de bon augure ; on voit que le traité a été composé à Gangs-ri thod dkar.